C'est une chose de vouloir (où notre volonté est, notre puissance n'y est pas nécessairement) mais c'est une autre d'en avoir envie.
Elle pose le problème de la fonction de ce qui est déjà installé. Prenons l'exemple d'une personne qui a la fâcheuse habitude de beaucoup s'agiter lorsqu'elle se sent mal ou en stress. Elle peut desceller (avec l'âge souvent) que ce réflexe n'est pas positif pour elle car il la fatigue, l'épuise. Mais cette habitude lui a permis de faire beaucoup de choses, peut être même de réussir dans son contexte et surtout l'a empêché d'aller voir au fond d'elle même.
Elle sait qu'il faut changer quelque chose car son corps lui envoie des messages mais elle n'a pas envie de s'arrêter, elle a même peut être peur de le faire.
Dans ce cas, il est impossible de changer.
J'ai envie de changer quand la situation devient invivable, quand je rencontre l'amour ou quand je vis un traumatisme qui va balayer tout l'ancien.
Mais surtout, j'en ai envie si j'ai bien identifié ce que je vais y gagner. Est ce plus de légèreté, de sérénité, d'amour, de reconnaissance, de santé, de plaisir, de respect…?
Est ce qu'en passant d'un état à un autre, je vais me connecter à une partie plus vaste que mon "petitmoi" ? je vais me connecter à mon âme ?
Mais surtout, j'en ai envie si j'ai bien identifié ce que je vais y gagner. Est ce plus de légèreté, de sérénité, d'amour, de reconnaissance, de santé, de plaisir, de respect…?
Est ce qu'en passant d'un état à un autre, je vais me connecter à une partie plus vaste que mon "petitmoi" ? je vais me connecter à mon âme ?
Alors je m'installe avec moi même, je respire, je me recentre et je demande si mon être est ok.
Tout mon être doit être ok pour un renouveau.
Tout mon être doit être ok pour un renouveau.
Aujourd'hui, je vous propose l'affirmation suivante : je désire le renouveau
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire